…Véronel n'avait plus grand-chose et explosait,alors il enleva doucement Lacrima,qui le suçait toujours avec dévotion,en disant sèchement :

- Allez femme,je veux finir dans sa bouche !

Lacrima a exécuté l'ordre sans faire de commentaire car elle n'a jamais accepté qu'il éjacule dans sa bouche,encore moins qu'il avale sa semence.

C'était un des critères pour que je sois accepté dans leur relation,dans leur lit.

- Je suis venu Babacule nourris-moi,tu cyprès,avec tes précieux spermatozoïdes - dis-je obligeamment en enfonçant ma bouche dans sa massue noir et robuste.

Sa femme lui léchait ses couilles.

Je me suis assis à genoux sur le lit et c'est ainsi que j'ai sucé sa bite,qui était lourdement chargée de la salive de sa femme.

D'un mouvement longitudinal,je descendis la bouche grande ouverte dans son superbe zob,avalant presque tout, puis les lèvres pincées et plus serrées,je grimpai jusqu'à la hauteur de la tête du con,la nettoyant de toute la salive de Lacrima et la remplaçant par la mienne .

Arrivé à la tête du bite,je le suçais comme un bonbon et après avoir léché le trou par lequel il pissait avec le bout de la langue, je descendais et j'avalais goulûment son sex.

J'ai alors pu voir Lacrima,baver couilles de son mari,les aspirant inlassablement.

Après avoir été sucé par sa femme,cela n'a pas duré longtemps jusqu'à ce que j'aie de nouveau eu la tête de sa bite dans ma bouche,puis je l'ai sentie grossir et palpiter,signe qu'il s'apprêtait à éjaculer.

Tout en gémissant légèrement,il m'a dit d'un ton autoritaire :

- Maintenant tu fais une pause, lève-toi bien et assieds-toi à genoux sur le tapis,la bouche grande ouverte.

- Je veux te baiser un peu dans ta bouche comme je baise mon piranda dans sa chatte et son cul.

- Immédiatement,mon cher papa,ton souhait est un ordre pour moi,ton plaisir est un délice pour moi - dis-je avec déférence.

Je ne me suis même pas bien agenouillé et il l'a poussé profondément en moi.

Il a d'abord commencé à pénétrer ma bouche avec de lents mouvements de va-et-vient mais son  chauve souris,longue et épaisse,la met complètement en moi.

Quand il a commencé à bouger son cul un peu plus vite,jusqu'à ce que je m'y habitue,quand son serpent a touché ma luette, j'ai eu envie de vomir.

Puis le mouvement de va-et-vient s'est intensifié et j'ai eu du mal à supporter la pénétration.

Ma bouche était remplie de salive qui coulait dans aux coins du mon museau.

Je respire fort,mais Véronel respire plus fort.

J'ai sucé quelques bites dans ma vie,mais jusqu'à présent,personne ne m'avait jamais baisé dans la bouche.

Véronel a été le premier et il le fait bien,il a une place spéciale dans mon cœur.

Mes yeux étaient exorbités et je respirais de plus en plus fort et le gitan a vu cela et a réduit le mouvement de son cul.

J'ai vu Lacrima me regarder en souriant,a genoux à ses pieds et caressant sa cuisse.

Il a retiré presque toute la bite de ma bouche,lentement et m'a permis d'avaler toute la salive et moi-même me léchant également le museau.

Ensuite,c'est moi qui ai pris la bite dans ma bouche en l'avalant lentement jusqu'au fond.

Toujours lentement et toujours avec elle dans ma bouche, je me suis retiré jusqu'au fond à la tête du coq,le nettoyant de ma salive.

- Tu es un bon suceur de bite,tu n'es pas juste quelqu'un qui se vante en ligne,comme je le pensais au début,et cela me fait dire que nous trois allons avoir une relation à long terme.

- J'aime ta bite à mort,Babacule,et je voudrais l'avoir en moi tout le temps - dis-je joyeusement.

- Tu  l'aurai - dit-il de manière convaincante - avec le temps tu t'y habitueras et je te le donnerai partout.

- J'essaie de satisfaire au mieux vos souhaits car vous êtes tout ce que je voulais mes beaux gitans - dis-je flatteuse.

Lacrima caressait maintenant sa couilleses et il me regarda avec compréhension,hochant la tête et il remit son tuyau dans ma bouche,me violant sauvagement.

Je tenais ses cuisses avec mes mains essayant de le ralentir et il bougeait furieusement son cul en disant comme avec malice :

- Prends,prends,prends d'ici pour en avoir assez,male putain !

- Baise-le dans sa bouche,mec,s'il aime ça - Lacrima tenait l'ison,lui faisant plaisir - baise le roumain pour qu'il se souvienne du nombre de jours qu'il aura.

J'ai essayé de dire "oui,oui,j'en ai très envie,j'aime ça comme ça" mais la bouche pleine je ne pouvais faire que des sons intermittents et inintelligibles.

Je sentais que ça venait à lui,qu'il lâcherai prise avant d'avoir laisser échapper ce grognement de bête blessée.

J'avais l'impression que la tête de sa bite était énorme et palpitait intensément et comme si elle remplissait toute ma bouche,qui était partiellement engourdi par les nombreuses pipes qu'il m'avait faites.

Gémissant long,ses fesses soudainement poussées en avant et toute sa bite est entrée dans ma bouche m'étouffant Presque,une fois,la deuxième fois,puis la troisième,les mêmes mouvements brusques de va-et-vient profonds jusqu'à ce qu'il éjacule.

Quand il l'a fait,il a gémi comme un taureau et a appelé sa mère.

Une quantité excessive de sperme,que je n'avais jamais vue chez personne d'autre auparavant il a explosé dans ma gorge et m'a presque forcé à l'avaler sans réfléchir car sa bite était déjà profondément implantée quand un spasme de ses fesses la poussa encore plus en avant.

Avec sa bite toujours dans ma bouche,je l'ai vu dans toute sa splendeur,nu,mince et avec une peau d'olive comment il gémissait lentement la tête renversée et sa femme caressait sa poitrine en lui disant :

- Bravo,mon homme fort et viril,libère-toi complètement,laisse-le avaler ta précieuse semence et ne laisse pas ta progéniture aller à vau-l'eau.

Véronel me regardait d'en haut indulgente et satisfaite et j'étais à genoux en train de l'adorer comme un dieu nubien.

Entre-temps,il m'a encore versé sa semence en moitrois fois,par intermittence mais en quantités non négligeables.

Il éjacule et dit à sa femme :

- Comme c'est bon ma femme,que je ne sois pas interrompue en faisant une pipe et que je puisse cracher ma foutre dans la gorge du suceur de bite.

- Et le roumain est bon dans ce qu'il fait,ce qui est à lui n'appartient qu'à lui.

- Eh bien,gardons-le juste pour nous - répondit l'épouse indulgente en souriant.

Entre deux éjaculations jusqu'à ce que j'avale la substance nourrissante,en faisant attention de ne rien perdre,maintenant je pouvais la goûter et la passer dans ma bouche pour sentir sa consistance.

Il a une viscosité plus qu'agréable,il est collant comme du miel et il a bon,à l'époque il avait un goût sucré,car l'alcool lui donne cette douceur et tous deux avaient célébré un jubilé.

- Tu aimes l'essence du rhum(rom dans la langue romani signifie gitan - un jeu de mots avec laquelle il me pique en me demandant si j'aime le sperme gitan)tu fou,alors suce-moi un peu plus pour te surprendre - dit-il en riant avec sa femme,fier qu'il soit un vrai homme.

Incapable de m'exprimer, j'ai juste hoché la tête d'un air approbateur et j'ai grogné de contentement et j'ai avalé le dernier lot de nectar.

Quand il eut fini,je m'inclinai et le remerciai en l'embrassant dans le tête de sa bite et sur le scrotum.

- Merci,papa,de m'avoir donné ton sperme divin - dis-je en levant les yeux vers lui et en léchant mes lèvres avec libidité.

- Je n'ai jamais rencontré personne avant toi si viril et qui ait produit autant de semence,je te le jure,et pour cela je m'incline respectueusement.

- Qu'as-tu pensé,puanteur - me répondit-il fièrement,s'etirer ennuyé sur le lit - que je sois un chétif comme toi d'où découle tout un néant.